tuteurs.ens.fr/docs/hublot/lexique.tml
Marc Mezzarobba cbbe543fce Passage à git des « Dernière modif... »
Remplacement de toutes les phrases du style « Dernière modification le
... [par ...] » par <date value="from git" />, qui produit une phrase du
genre à partir de l'historique du dépôt. Le « from git » n'a pas
d'importance, c'est juste parce que la DTD de TML (que je préfère ne pas
changer) exige un attribut value.

Last-change: ignore this commit
2009-09-27 22:16:43 +02:00

320 lines
17 KiB
XML
Raw Blame History

This file contains invisible Unicode characters

This file contains invisible Unicode characters that are indistinguishable to humans but may be processed differently by a computer. If you think that this is intentional, you can safely ignore this warning. Use the Escape button to reveal them.

<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?>
<!DOCTYPE html
PUBLIC "-//ENS/Tuteurs//DTD TML 1//EN"
"tuteurs://DTD/tml.dtd">
<!--"file:///home/cigaes/prog/tml/DTD/tml.dtd">-->
<html>
<head>
<title>Lexique</title>
</head>
<body>
<h1>Le lexique des termes informatiques parus dans les
douze numéros du Hublot</h1>
<dl>
<dt><strong>Alias</strong></dt><dd><p> On appelle <em>alias</em> une
traduction que vous définissez pour un mot que vous tapez en ligne de
commande; c'est le plus souvent un raccourci. Par exemple, si vous tapez
<code>rm</code>, la machine comprendra <code>rm -i</code>. Les alias qui
sont définis de façon permanente le sont dans le fichier
<code>.zshrc</code> de votre compte (config conscrits). La commande
<code>alias</code> permet d'avoir la liste des alias actuellement
définis.</p></dd>
<dt><strong>Baud</strong></dt><dd><p>On mesure en
bauds le débit des modems. Grosso-modo, 1 baud équivaut à 1 bit par
seconde. Les modems actuels peuvent monter à 57 600 bauds, mais c'est
rare (il faut des lignes téléphoniques de très bonne qualité).
Couramment, on fait du 28 800 bauds. Comme 8 bits font un octet
(c'est-à-dire un caractère), un modem courant fait du 3 600 caractères à
la seconde, soit environ 3,5 Ko. </p></dd>
<dt><strong>Cache</strong></dt><dd><p> Le cache est un espace de stockage
où le navigateur garde une copie des pages récemment visitees, afin
d'accélérer leur chargement lors de la consultation suivante (il suffit
alors de vérifier que la page n'a pas changé plutôt que de la télécharger
de nouveau). </p> <p> Il y a en fait deux types de cache: d'une part un
cache en mémoire vive, qui ne conserve les données que durant une session
de navigation, et d'autre part un cache disque (parfois désactivé pour
économiser de la place) qui est conservé d'une session à l'autre.
</p></dd>
<dt><strong>(Dé)commenter</strong></dt><dd> Quand vous écrivez un texte,
vous voulez pouvoir mettre des commentaires personnels, et qui seront
«invisibles». Par exemple, vous écrivez un programme, et vous mettez des
commentaires comme «À optimiser», ou «Ici l'utilisateur entre ses
données». Il faut donc pouvoir distinguer les lignes qu'un logiciel va
interpréter, des lignes qu'il ne doit pas interpréter. <br /> Pour cela,
on les fait commencer par un caractère spécial. En LATEX, les lignes de
commentaires commencent par un <code>%</code>, en HTML les commentaires
sont insérés entre <code>&lt;!--</code> et <code>--&gt;</code>. Dans les
fichiers de configuration qui indiquent la taille de vos fenêtres, leur
couleur, etc, les lignes de commentaires commencent le plus souvent par
<code>#</code> ou <code>"</code>.<br /> En ce sens, «commenter une
ligne», c'est mettre l'un de ces signes au début; elle deviendra
«invisible» pour le logiciel qui lira le fichier. «Décommenter une
ligne», c'est ôter le signe en question; elle sera à nouveau visible pour
le logiciel.</dd>
<dt><strong>Espace insécable</strong></dt><dd><p>
C'est un espace spécial qui, placé entre une ponctuation et un mot,
empêche le mot et la ponctuation d'être séparés par un retour à la ligne.
</p></dd>
<dt><a name="exec"><strong>Exécutable</strong></a></dt><dd><p> Il
existe deux sortes de langages de programmation: les langages compilés et
les langages interprétés. Les langages compilés fonctionnent selon le
principe suivant: le programmeur écrit le code du programme, puis on
passe par une étape de <em>compilation</em>, c'est-à-dire de traduction
du code en langage machine. On dispose alors d'une part du code source du
programme, que l'on peut modifier et recompiler, d'autre part d'un
exécutable, illisible par un humain, mais compréhensible pour
l'ordinateur. </p> <p> Quand vous achetez un logiciel dans le commerce,
vous achetez un exécutable produit à partir d'un code source, dont vous
ne disposez pas. Vous pouvez utiliser le logiciel, le recopier, mais pas
le modifier. Ce n'est pas vrai pour les logiciels libres. </p></dd>
<dt><strong>FAQ</strong></dt><dd><p> C'est un sigle anglais
(<em>Frequently Asked Questions</em>, questions fréquemment posées»),
adapté en français comme «Foire Aux Questions». Comme son nom l'indique,
cela désigne une liste de questions courantes à propos d'un sujet donné.
</p> <p> Quand vous arrivez quelque part sur Internet (un groupe de
discussion, une page Web, etc), il faut commencer par lire la FAQ: dans
90% des cas, quelqu'un d'autre a déjà rencontré le même problème que
vous, et la réponse existe déjà... </p></dd>
<dt><strong>Fichiers de configuration</strong></dt><dd><p> Fichier
définissant et personnalisant le comportement de certains programmes
(<code>.pinerc</code>, <code>.ytalkrc</code>...). Le <code>rc</code> veut
dire <em>run command</em>. </p> <p> Ce sont aussi les fichiers de
configuration qui définissent la taille, la couleur et l'emplacement des
fenêtres, les menus de fond d'écran, les couleurs de <code>ls</code>,
etc. On détaillera ces fichiers de configuration dans le numéro 13 du
<em>Hublot</em>, en mars 2001. </p></dd>
<dt><strong> GNU</strong></dt><dd> <p> C'est un acronyme qui veut dire
«GNU's not Unix». Le projet GNU est un projet visant à écrire un <a
href="#syst">système
d'exploitation</a> <a href="#libre">libre</a> complet. Ses participants ont commencé par écrire
un certains nombres de logiciels et d'utilitaires permettant le
développement du système proprement dit (Hurd), dont la sortie est une
arlésienne... En attendant, ces utilitaires existent (GNU emacs,
GNUchess, <code>gzip</code>, des versions de <code>less</code>,
<code>grep</code>, <code>tar</code>, etc). </p> <p> Les promoteurs du
projet sont la Free Software Fundation (FSF), avec Richard Stallman à sa
tête. </p></dd>
<dt><strong> Gourous</strong></dt><dd> <p> Les gourous sont un groupe
d'élèves ou d'anciens élèves volontaires pour installer un certain nombre
de logiciels sur les machines Unix, comme <code>pine</code>,
<code>mutt</code>, <code>gnuplot</code>, <code>xfig</code>,
<code>ytalk</code>, les éditeurs de texte, les jeux, les gestionnaires de
fenêtres, des utilitaires comme <code>less</code>, <code>screen</code>,
<code>ledit</code>...</p> <p> Ils s'occupent également, en collaboration
avec le SPI, de la modération des courriers collectifs. Ce sont aussi les
gourous qui font la config conscrits. </p></dd>
<dt><strong> GPL</strong></dt><dd> <p> <em>General Public License</em>.
C'est une des licences de diffusion des logiciels <a
href="#libre">libres</a>, notamment
Linux et les utilitaires GNU. Un logiciel couvert par cette licence peut
être utilisé, recopié, modifié, redistribué (gratuitement ou non) ou
inclus dans un autre, à condition que le code source du logiciel avec ses
modifications éventuelles soit tenu à la disposition de tout
récipiendaire, aux termes de cette même licence. </p> <p> Le but de cette
licence est de promouvoir le logiciel libre, en empêchant de réutiliser
tout ou partie d'un logiciel sous GPL dans un logiciel qui ne le soit
pas. </p></dd>
<dt><strong>Interface graphique</strong></dt><dd><p>
L'interface est ce qui permet la communication entre l'ordinateur et
l'utilisateur. Avec une interface graphique, un «geste» informatique
(déplacer un fichier, lancer un logiciel) correspond à un «geste»
physique (faire glisser une icône, cliquer sur un bouton qui représente
le logiciel). </p> <p> On utilise les ressources du graphisme pour
ordonner le travail, par exemple : une fenêtre pour chaque logiciel, une
couleur pour ce qui est activé et une autre pour ce qui n'est pas activé,
une thématique pour chaque icône, permettant de retrouver rapidement la
fonction du logiciel (comme papier et crayon pour un traitement de texte,
palette pour un logiciel de dessin, etc.). </p></dd>
<dt><strong>KDE</strong></dt><dd><p> C'est un environnement graphique
développé pour Unix, et très ressemblant à Windows, tant par l'aspect que
par les ressources qu'il consomme. Il regroupe à la fois un bureau, un
certain nombre d'applications de base (courrier électronique, gestion des
fichiers...) et des applications plus lourdes (traitement de textes...).
</p> <p> L'environnement lui-même n'est pas installé à l'École, mais
certaines des applications le sont quand même (jeux, utilitaires comme le
gestionnaire de fichiers <code>kfm</code>, le générateur de fractales
<code>kfract</code>, etc). </p> <p> Il y a d'autres projets proposant
une interface graphique agréable pour machines Unix; citons Gnome,
Afterstep, WindowMaker. </p></dd>
<dt><a name="libre"><strong>Libre</strong></a></dt><dd><p> Un logiciel libre est un logiciel
que l'on peut copier, modifier et distribuer librement. Le modifier
implique de pouvoir disposer du code source du logiciel, et pas seulement
de l'<a href="#exec">exécutable</a>. On peut revendre commercialement un logiciel libre;
dans ce cas, c'est un service que l'on vend (pressage du CD-ROM,
documentation, service après-vente...), et non pas le logiciel lui-même.
Un logiciel libre n'est donc pas obligatoirement gratuit. </p> <p>
Là-dessus se greffe la notion de <em>copyleft</em> (par opposition à
copyright): en plus d'être libre, le logiciel est sous une licence (telle
que la GPL) qui garantit que les versions dérivées seront également
libres. Des exemples de logiciels libres: pine, mutt,
LATEX, netscape, linux, gimp, xkobo... </p></dd>
<dt><strong> Man</strong></dt><dd> <p> C'est une abréviation pour
«manuel». Les pages de man sont les pages qui documentent un programme,
ou une commande. Par exemple, pour connaître toutes les options de
<code>ls</code>, tapez «<code>man ls</code>». Les commandes de
déplacement, recherche, etc, sont celles de <code>less</code> (voir les
<a href="&url.tuteurs;unix/exercices/less.html"> exercices sur
<code>less</code></a>).</p> <p> Les pages de man sont des
<em>références</em>, et pas des didacticiels. Elles sont donc souvent
difficiles à lire, d'autant qu'elles sont en anglais. Dans les
distributions francophones de Linux, un certain nombre de pages de man
ont été traduites. </p></dd>
<dt><strong>Modem</strong> (abréviation de
«modulateur-démodulateur).</dt><dd><p> C'est un système électronique qui
permet de connecter un ordinateur au réseau téléphonique, pour lui donner
accès à l'Internet. </p></dd>
<dt> <strong>Niveau</strong></dt><dd><p> Est bas
niveau ce qui est proche du matériel. Est haut niveau ce qui est proche
de l'utilisateur. </p></dd>
<dt> <strong>Noyau</strong></dt><dd><p> Le noyau
(<em>kernel</em>) est le coeur du système. C'est lui qui gère le matériel
pour les besoins des applications. Il est la partie principale du système
d'exploitation. </p></dd>
<dt><strong>Packages</strong></dt><dd><p> Ensemble de fonctions qui
peuvent être incorporées à LATEX pour faire une
tâche particulière (police spéciale, colonnes, etc...). Les packages
LATEX seront expliqués dans le prochain numéro.
</p></dd>
<dt><strong>Par défaut</strong></dt><dd><p> Se dit d'une option, d'un
comportement, etc, qui est choisi tant que l'utilisateur n'a pas fait
explicitement mention du voeu contraire. Ces choix ont été faits par
l'administrateur (dans le cas de la config conscrits, par des gourous).
</p> <p> «Par défaut, le logiciel de courrier de la config conscrits est
<code>pine</code>» (c'est lui qui est lancé quand on clique sur
«Courrier»). «Par défaut, la config conscrits lance une seule grande
fenêtre». «Par défaut, la fiche annuaire figure aussi dans l'annuaire
électronique». </p></dd>
<dt><strong>Pilote</strong></dt><dd> «Pilote de périphérique» est la
traduction de l'anglais <em>driver</em>. C'est un morceau de système
d'exploitation dont le travail est de faire la traduction entre une pièce
de matériel donnée et le reste du système. Les pilotes pour Windows
gérant un matériel d'extension sont souvent fournis avec ce matériel sur
un CDROM ou une disquette spécifique. </dd>
<dt> <strong>Port</strong></dt><dd><p> Première
définition, pour expliquer à quoi ça sert : un port est une
sous-adresse, comme une boîte aux lettres dans un immeuble. </p> <p>
Seconde définition, technique : un port est un numéro qui définit, à
l'intérieur d'une machine donnée, un point sur lequel un programme peut
attendre des connexions de l'extérieur ou depuis lequel il peut en
établir. La donnée du numéro IP de la machine et du port TCP constitue
l'analogue d'un numéro de téléphone vers lequel ou depuis lequel on peut
établir des connexions. </p></dd>
<dt><strong>Propriétaire</strong></dt><dd><p> Contraire de libre... Le
logiciel et son code source appartiennent à une société. On parle aussi
de «matériel propriétaire» : les ordinateurs TotoTM n'acceptent que du
matériel TotoTM (barrettes de mémoire, cartes, etc). </p></dd>
<dt><strong>Protocole</strong></dt><dd><p> Dialecte commun à des machines
pour permettre leur communication. </p></dd>
<dt><strong>Script</strong></dt><dd><p> Programme servant à automatiser
des tâches répétitives, généralement simple. Principales
caractéristiques: le langage utilisé interprète directement le script, de
manière transparente, sans avoir besoin de passer par un traducteur
externe; les constructions utilisées sont généralement de haut niveau par
rapport à un langage de programmation traditionnel, et collent plus avec
la notion de «faire telle tâche, puis telle autre». </p></dd>
<dt> <strong>Shell</strong></dt><dd><p> Le shell est
le programme qui interprète les commandes tapées au clavier. Selon le
cas, il peut exécuter le programme demandé (<code>pine</code>,
<code>ls</code>, <code>date</code>...), demander confirmation (avant
d'effacer un fichier par exemple), corriger la syntaxe
(<code>netscape</code> et pas <code>nestcape</code>), afficher un message
d'erreur comme «<code>command not found</code>», etc. On peut aussi
écrire des programmes (appelés scripts), dans le langage du shell, pour
créer de nouvelles commandes, automatiser des tâches, ou autres. </p>
<p> Un shell est lancé dans chacun des terminaux que vous ouvrez. Pour
quitter le shell, il suffit de taper <code>^D</code>, ce qui aboutit en
pratique à fermer la fenêtre, car plus aucun programme ne tourne dedans.
</p></dd>
<dt><a name="syst"><strong> Système d'exploitation</strong></a></dt><dd>
<p> C'est le logiciel qui fait tourner l'ordinateur «en dessous» des
applications dont se sert l'utilisateur (comme les logiciels de courrier,
les traitements de texte), et en dessous de l'interface graphique. On dit
aussi «OS» (<em>operating system</em>). </p> <p> Le système
d'exploitation d'Apple pour Macs s'appelle MacOS, celui d'IBM pour PC
s'appelle OS/2. Le système d'exploitation de Microsoft pour PC est
DOS/Windows; à l'origine il n'y avait que le DOS, qui fut complété par
Windows, interface graphique désormais complètement intégrée au système
d'exploitation. </p> <p> Un autre type de système d'exploitation est le
système Unix. Unix est en fait une famille qui comprend entre autres
Solaris (Unix de la société Sun), AIX (Unix de la société
Hewlett-Packard), Linux (Unix <a href="#libre">libre</a>, disponible
gratuitement, et aussi commercialisé par des sociétés comme RedHat, SuSE,
Caldera, Debian...), FreeBSD, OpenBSD et NetBSD (d'autres Unix libres),
Hurd (Unix libre du projet GNU). </p></dd>
<dt><strong>Swap</strong></dt><dd><p> Zone du disque dur où le système
stocke automatiquement la mémoire peu utilisée, afin de garder la vraie
mémoire, rapide, pour ce qui sert vraiment. Par exemple, un terminal
auquel on n'a pas touché depuis longtemps est souvent vidé de la mémoire,
et met quelques secondes à revenir quand on veut s'en servir.</p> </dd>
<dt><strong>Texte (mode texte)</strong></dt><dd><p> Un programme lancé
dans un terminal peut être en mode texte, auquel cas il s'affiche dans la
fenêtre où il a été lancé. Pour sa mise en page, il utilise le jeu de
caractères disponibles, c'est-à-dire les caractères alphanumériques et
les ponctuations. Il peut être en couleurs ou en noir et blanc. Certains
logiciels en mode texte peuvent s'utiliser avec la souris, possèdent des
menus déroulants, etc. Ils s'utilisent cependant le plus souvent avec le
clavier. Pine est un logiciel de courrier en mode texte. </p> <p> Par
opposition, un logiciel en mode graphique se lance dans une nouvelle
fenêtre, s'utilise avec la souris, et propose divers moyens graphiques
(fontes, couleurs, icônes) pour son utilisation, comme Netscape.
</p></dd>
<dt><strong>URL</strong></dt><dd> <p> <em>Uniform Resource Locator</em>.
C'est ce que les médias appellent une «adresse Web», C'est un bout de
texte, possible à taper au clavier, qui indique comment accéder à un
document ou une autre donnée. Les plus courantes sont en
«<code>http://</code>», ce qui indique le protocole (pour ce mot, voir le
numéro 9 du <em>Hublot</em>) à utiliser, et précisent un ordinateur à
contacter et le fichier à lui demander.</p></dd>
<dt> <strong>Visualisateur
d'images</strong></dt><dd><p> Un visualisateur d'images est un
logiciel capable d'afficher des images. Sur les stations Sun, nous
utilisons <code>xv</code>. Un visualisateur d'images inclut le plus
souvent des fonctions de retouche (agrandir, convertir en un autre
format, etc.). </p> </dd>
</dl>
<div class="metainformation">
Auteur : les rédacteurs du Hublot, et Joël Riou. <date value="from git" />
</div>
</body>
</html>