tuteurs.ens.fr/unix/jeux.tml
Marc Mezzarobba cbbe543fce Passage à git des « Dernière modif... »
Remplacement de toutes les phrases du style « Dernière modification le
... [par ...] » par <date value="from git" />, qui produit une phrase du
genre à partir de l'historique du dépôt. Le « from git » n'a pas
d'importance, c'est juste parce que la DTD de TML (que je préfère ne pas
changer) exige un attribut value.

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2009-09-27 22:16:43 +02:00

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<!DOCTYPE html
PUBLIC "-//ENS/Tuteurs//DTD TML 1//EN"
"tuteurs://DTD/tml.dtd">
<html>
<head>
<title>Jeux</title>
</head>
<body>
<h1>Les jeux</h1>
<div class="attention">
<p>
&icone.attention;
Les administrateurs système du SPI sont intelligents et ne font pas la
chasse aux jeux (ils permettent même officiellement aux gourous d'en
installer, et fournissent de la place disque à cette fin !). Cependant,
il est bien évident que <strong>les machines sont d'abord destinées à
travailler</strong> : si vous êtes dans la douloureuse obligation de le
faire, vous avez toute latitude de demander à une personne qui est en train de
jouer de vous laisser sa place. Et inversement. Bref, vous avez
compris...
</p>
</div>
<p>
Dans les salles élèves, les jeux sont en réseau, ou tout au moins possèdent une
table des scores partagée entre tous les joueurs depuis l'installation du
jeu.
</p>
<p>
Lancer les jeux : un certain nombre de jeux sont disponibles dans le
sous-menu « Jeux » du menu K. Vous pouvez aussi les lancer en
tapant leur nom au clavier.
</p>
<p>
La liste ci-dessous présente quelques jeux qui étaient installés à
l'école il y a quelques années. Certains sont encore là, d'autres non,
il y en a de nouveaux... Bref.
</p>
<div class="encadre">
<h2><a name="xhost">Comment autoriser les connexions à votre affichage ?</a></h2>
<p>
Certains jeux utilisent la puissance du système X Window pour s'exécuter
sur une machine... et afficher le résultat sur une autre. Ceci nécessite
toutefois que le propriétaire de l'écran soit d'accord avec la manoeuvre,
sinon n'importe qui pourrait afficher des images politiquement incorrectes
dans une fenêtre par-dessus votre rapport de stage à tout moment (!).
</p>
<p>
Pour donner l'autorisation à la machine <code>chaland</code> de vous envoyer
une fenêtre afin de jouer à un jeu en réseau qui utilise ce procédé, tapez
</p>
<pre>xhost +chaland</pre>
<p>
Si ça ne marche pas, essayez <code>xhost +</code> tout en sachant que
cela permet à <em>n'importe quelle machine au monde</em> à vous envoyer des
fenêtres voire de voler des mots de passe en espionnant votre clavier.
</p>
<p>
Les commandes permettant de retirer ces permissions sont respectivement
<code>xhost -chaland</code> et <code>xhost -</code>. Retirer la permission
ne ferme pas les fenêtres déjà ouvertes par votre correspondant, vous pouvez
donc le faire aussitôt que la fenêtre apparaît pour limiter l'intervalle de
temps pendant lequel vous êtes vulnérable.
</p>
</div>
<h2>Tetris et assimilés</h2>
<h3><a name="xtetris">xtetris</a></h3>
<h3><a name="xtris">xtris</a></h3>
<p>
<em>xtris</em> peut se jouer en réseau. Pour rejoindre une partie commencée
sur <code>jonque</code>, par exemple, tapez <code>xtris jonque</code>.
</p>
<h3><a name="puyo">puyo</a></h3>
<p>
Le but du jeu est d'assembler les puyos par bloc de quatre de la même
couleur (et non plus de former des lignes). Ce jeu est plus amusant en réseau,
car la constitution d'un bloc de puyos a pour conséquence le saupoudrage de la
zone de jeu de votre adversaire avec des cailloux qui gênent son jeu
(banga !).
</p>
<p>
Pour jouer en réseau, lancez <code>puyo</code> sur votre machine (on dit que
c'est <code>bireme</code>). Vous partenaires lancent à leur tour le jeux, en
tapant
</p>
<pre>puyo bireme</pre>
<p>
Le nouveau joueur s'ajoute donc. Pour jouer ensemble, le nouveau doit cliquer
sur <code>Play</code> au moment où le jeu énumère « 3, 2, 1 ».
</p>
<h3><a name="spatial">spatial</a></h3>
<p>
C'est un tetris en 3D, dont les touches sont un peu difficiles à mémoriser,
mais qui a beaucoup de succès.
</p>
<h2>Réflexion</h2>
<h3><a name="xsok">xsok</a></h3>
<p>
Le jeu-ou-il-faut-pousser-les-caisses-dans-les-cases-idoines.
</p>
<h3><a name="ksokoban">ksokoban</a></h3>
<p>
Sokoban avec le graphisme KDE.
</p>
<h3><a name="Tiles">X-Tiles</a></h3>
<p>
(programmé par Max &mdash; Marc Espie, un ancien élève, mais toujours
d'actualité, de l'ENS) En cliquant sur un bloc de deux briques ou plus, on
le fait disparaître, et les briques au dessus descendent d'un niveau. Il
faut nettoyer tout l'écran...
</p>
<p>
X-TileS est configurable :
</p>
<pre>X-Tiles 3 35 35</pre>
<p class="continue">
lance un jeu avec 3 couleurs, et de taille 35 sur 35.
</p>
<h3><a name="ksame">ksame</a></h3>
<p>
Même principe que X-Tiles, avec une jolie interface KDE. Trois couleurs
seulement, non configurable.
</p>
<h3><a name="xmahjongg">xmahjongg</a></h3>
<p>
Un jeu de mah-jongg (dominos chinois) aux couleurs criardes. Le principe est
de retirer les pièces par paires identiques, sachant qu'il y a plusieurs
épaisseurs (donc certaines pièces ne sont pas encore visibles), et qu'on ne
peut retirer que les pièces se trouvant sur les bords.
</p>
<h3><a name="kmahjongg">kmahjongg</a></h3>
<p>
Le jeu de mah-jongg de KDE, avec de belles pièces sur un modèle classique.
</p>
<h3><a name="kshisen">kshisen</a></h3>
<p>
Un autre jeu de dominos chinois, avec le graphisme KDE. On retire les pièces
par paires identiques, à condition qu'elles puissent être reliées par un trait
qui fasse au plus deux coudes.
</p>
<h3><a name="xjig">xjig</a></h3>
<p>
Un jeu de puzzle très très très bien fait. Attention, les pièces sont
réversibles...
</p>
<h3><a name="kreversi">kreversi</a></h3>
<p>
Un jeu de reversi où vous jouez contre l'ordinateur.
</p>
<h3><a name="xboard">xboard</a></h3>
<p>
Il s'agit en fait de GNU chess, un jeu d'échecs très fort.
</p>
<h3><a name="xshogi">xshogi</a></h3>
<p>
Jeu d'échecs japonais.
</p>
<h3><a name="kabalone">kabalone</a></h3>
<h3><a name="cgoban">cgoban</a></h3>
<p>
Un jeu de go.
</p>
<p>
Xboard (pour les échecs) et cgoban (pour le go)
permettent de se connecter à des sites distants et de jouer contre d'autres
personnes connectées aux mêmes sites dans le monde entier. Dans les deux cas,
il vous faudra chercher un peu de documentation par vous-même (dans les <a
href="&url.tuteurs;internet/news.html">news</a> ou dans les <a
href="&url.jargon;#RTFM">pages de man</a>) pour vous en
servir.
</p>
<h2>Jeux de cartes</h2>
<h3><a name="xpat">xpat2</a></h3>
<p>
C'est un assortiment de divers jeux de cartes (liste complète dans le menu
<code>rules</code>; on y trouve Spider, le solitaire sous le nom
de <code>klondike</code>, Freecell...).
</p>
<h3><a name="kpat">kpat</a></h3>
<p>
Le jeu de cartes de KDE. Il est naturellement lancé sur le solitaire, et
propose d'autres jeux.
</p>
<h3><a name="spider">spider</a></h3>
<p>
<strong>Le</strong> jeu de cartes, difficile, passionnnant, élégant...
</p>
<h2>Jeux de baston</h2>
<h3><a name="doom">doom</a></h3>
<p>
C'est un port pour unix du grand classique PC Doom. Pour ceusse qui
seraient trop jeunes pour en avoir entendu parler, c'est l'un des
premiers FPS, absolument révolutionaire pour l'époque où il est
sorti. Peut se jouer à plusieurs, en réseau.
</p>
<h3><a name="jnb">jumpnbump</a></h3>
<p>
Un jeu absolument stupide, où l'on controle des petits lapins qui doivent
se fragger en se sautant dessus. Se joue jusqu'à 4 sur une même
machine. Les commandes sont <kbd>azd</kbd> ou <kbd>qwd</kbd> pour le
premier joueur (gauche, sauter, droite), <kbd>jkl</kbd> pour le deuxième,
les flêches pour le troisième, et <kbd>486</kbd> (pavé numérique) pour le
quatrième. Pour commencer la partie, il faut déplacer tout les lapins qui
vont jouer à droite du tronc d'arbre, puis faire sortir un lapin par la
droite de l'écran. On peut activer une IA (très très stupide) pour le
ième joueur avec la ième touche de fonction.
</p>
<h3><a name="xboing">xboing</a></h3>
<h3><a name="kasteroids">kasteroids</a></h3>
<p>
Un asteroid, quoi.
</p>
<h3><a name="xsoldier">xsoldier</a></h3>
<p>
Un shoot-them-up vu de dessus, avec un vaisseau spatial et des méchants qui descendent...
</p>
<h2>Jeux d'arcade</h2>
<h3><a name="mirrormagic">mirrormagic</a></h3>
<p>
Un clône du bon vieux deflektor d'Amstrad.
</p>
<h3><a name="xkobo">xkobo</a></h3>
<p>
Un shoot them up vu de dessus, dans un genre un peu différent du
classique. Il y a une autre version nommée <kbd>kobodl</kbd>.
</p>
<h3><a name="xkoules">xkoules</a></h3>
<p>
À lancer, ne serait-ce que pour voir une fois l'ouverture...
</p>
<h3><a name="sopwith">sopwith</a>sopwith</h3>
<p>
Splendide simulateur de vol, d'un réalisme rarement atteint...
</p>
<h2>Jeux de rôle</h2>
<p>
C'est sans aucun doute la catégorie dont le rapport temps de jeu sur qualité
graphique est le plus élevé ! Un coach humain est de rigueur pour
apprendre à jouer à ces jeux, mais ils sont d'une richesse incroyable et comme
ils n'autorisent qu'une seule sauvegarde, gare aux moments de déprime à la
mort de votre personnage !
</p>
<h3><a name="crossfire">crossfire</a></h3>
<h3><a name="angband">angband</a></h3>
<h3><a name="moria">moria</a></h3>
<h3><a name="nethack">nethack</a></h3>
<p>
Le jeu mythique.
</p>
<h3><a name="slash">slash</a></h3>
<p>
Version modernisée et encore plus riche et plus difficile de Nethack.
</p>
<h3><a name="crawl">Crawl</a></h3>
<p>
La version la plus récente.
</p>
<h2>Jeux en réseau</h2>
<p>
C'est le genre de jeux qui a le plus de succès à plusieurs. Les jeux exposés
ici reposent sur un mécanisme de <em>client-serveur</em> : un joueur
lance un programme maître (le <em>serveur</em>) qui attend les connexions des
autres joueurs et supervise le jeu en distribuant les décors, les positions
des autres joueurs, etc, à tout le monde. Les autres joueurs lancent un
<em>client</em> qui contient l'interface graphique permettant de jouer. Dans
la liste ci-dessous, le nom indiqué est celui du programme client.
</p>
<h3><a name="freeciv">freeciv</a></h3>
<p>
<em>FreeCiv</em> est un clone libre du célèbre <em>Civilization II</em> de Sid
Meier. Il s'agit de prendre les rênes d'un empire depuis l'âge de pierre
jusqu'à la conquête spatiale, tout en gérant les velléités expansionnistes
de vos concurrents. Bien qu'on puisse y jouer seul face à des concurrents
informatiques, il est vivement recommandé d'y jouer à plusieurs pour
profiter pleinement du jeu. N'oubliez pas l'existence de la mailing-list
<code>freeciv@quatramaran.ens.fr</code> dans le cas improbable d'une pénurie
de joueurs potentiels.
</p>
<p>
Pour lancer une partie, il faut que l'un des joueurs tape
<code>civserver</code> dans une fenêtre. Il est alors « arbitre » de la
partie : peut créer des joueurs informatiques, régler les paramètres,
charger ou sauver le jeu, et surtout accepter les connections des autres
joueurs, qui auront entré la commande <code>civclient</code> (si l'arbitre
veut jouer, il lance son propre <code>civclient</code> dans une autre
fenêtre). Une fois les détails réglés, l'arbitre peut lancer le jeu.
<!-- Darth Heavy -->
</p>
<h3><a name="xpilot">xpilot</a></h3>
<p>
Jeu de petits vaisseaux qui se lattent les uns les autres (tout un programme).
Le serveur se lance par la commande <code>xpilots</code> et le client par
<code>xpilot</code> (suivi du nom de la machine serveur si elle ne se trouve
pas dans la même salle). Appuyez sur <code>Return</code> une fois de plus et
le jeu démarre. À vos claviers ! Quatre touches de base :
</p>
<ul>
<li><code>Shift</code> pour accélérer</li>
<li><code>a</code> et <code>s</code> pour tourner</li>
<li><code>Return</code> pour tirer</li>
</ul>
<p>
La liste des autres touches est accessible par l'option <code>keys</code> du
menu (la case <code>menu</code>) à gauche de l'écran de jeu.
</p>
<p>
Ce jeu est d'une difficulté bien dosée, tout plein d'options diverses et il
possède une particularité très amusante : les serveurs <em>xpilot</em> se
connectent eux-mêmes à un serveur de serveurs pour se communiquer la liste de
leurs joueurs, ce qui fait qu'on a souvent l'occasion de jouer avec des
joueurs connectés de partout en Europe !
</p>
<h3><a name="hunt">hunt</a></h3>
<p>
Il s'agit d'un combat dans un labyrinthe, avec des armes à feu. Par le
principe, c'est un peu comme le célèbre <em>Doom</em>, mais en apparence,
ça n'a rien à voir : le labyrinthe est vu du dessus, et découvert
progressivement. Pour le lancer, on tape la commande <code>hunt</code>
(depuis une station Sun, il n'est pas installé pour FreeBSD), on indique un
pseudonyme, éventuellement une équipe. Il va ensuite chercher toutes les
parties qui existent déjà dans la salle.
</p>
<p>
Pour jouer, on utilise le clavier. Les touches de déplacement sont les
mêmes que celles de Nethack, c'est-à-dire celles des plus vieilles versions
de l'éditeur Vi : respectivement <code>h</code>, <code>j</code>,
<code>k</code>, <code>l</code> pour gauche, bas, haut, droite, les
majuscules permettant en outre de se tourner. On tire en utilisant les
chiffres. Il existe d'autres possibilités, toutes décrites dans la page de
man.
</p>
<!-- Cigaes -->
<h3><a name="xtron">xtron</a></h3>
<p>
Inspiré du jeu des « motos lumineuses » du film homonyme de Walt Disney.
</p>
<h3><a name="xblast">xblast</a></h3>
<p>
De petits personnages posent ou font glisser des bombes pour essayer de
faire exploser les autres, tout en essayant d'éviter les bombes des autres
et d'attraper les bonus. Attention : c'est un jeu relativement gourmand en
réseau, et générateur de bruit, il ne faut pas y jouer quand il y a du
monde.
</p>
<!-- Cigaes -->
<h3><a name="risk">risk</a></h3>
<p>
Une adaptation du jeu de plateau Risk. On peut y jouer seul contre
l'ordinateur avec la simple commande <code>risk</code>, ou à plusieurs en se
connecant à une partie déjà lancée mais pas encore commencée avec <code>risk
<em>machine</em></code>.
</p>
<h2>Inclassables</h2>
<h3><a name="lbreakout">LBreakout</a></h3>
<p>
Casse-briques. La grande variété des bonus et malus, et la quantité de
niveaux fins et subtils le rendent très amusant.
</p>
<h3><a name="xletters">xletters</a></h3>
<p>
(programmé par David Madore). Il faut taper les lettres de mots avant qu'ils
n'atteignent le bas de l'écran (en un sens c'est un logiciel pédagogique...).
<code>xletters</code> a été décrit par son auteur dans le numéro 2 du
<em>Hublot</em> : <a href="&url.tuteurs;docs/hublot/hublot02.html#xletters">Le
jeu xletters</a>, novembre 1999.
</p>
<h3><a name="xlaby">xlaby</a></h3>
<h3><a name="xbill">xbill</a></h3>
<p>
Jeu très idiot où le but est d'empêcher le petit Billou de remplir votre
réseau avec son système d'exploitation. Pour initiés...
</p>
<h3><a name="xdemineur">xdemineur</a></h3>
<p>
Le démineur que vous connaissez.
</p>
<h3><a name="kmines">kmines</a></h3>
<p>
Un démineur, plus joli, avec l'interface KDE.
</p>
<h3><a name="ksnake">ksnake</a></h3>
<p>
Il faut faire manger toutes les pommes au serpent et sortir avant que le
temps soit écoulé. Se joue avec les flèches du clavier.
</p>
<h3><a name="gav">gav</a></h3>
<p>
Un jeu de volley absolument grotesque. Peut se jouer à deux.
</p>
<div class="metainformation">
Auteurs : Dominique Quatravaux, Émilia Robin, Nicolas George, et d'autres.
<date value="from git" />
</div>
</body>
</html>