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<html>
<head>
<title>Courrier électronique</title>
</head>
<body>
<h1>Généralités sur le courrier électronique</h1>
<div class="resume">
<p> Le fonctionnement du courrier élctronique, ou « courriel »
(en anglais <em>e-mail</em>, pour <em>electronic mail</em>) présente de
nombreuses similitudes avec le courrier papier : il y a des
adresses, des enveloppes, des messages, des classeurs pour ranger le
courrier que vous recevez, une signature... </p>
<p> Malheureusement, comme dans vos boîtes aux lettres, il y a aussi de
la publicité (le fameux « spam »). Pour savoir comment vous
protéger du spam, et comment essayer d'endiguer le flot si vous êtes
déjà atteint, reportez-vous à
notre <a href="antispam.html">documentation contre le spam</a>. </p>
</div>
<h2><a name="savoir">Tout ce que vous devez savoir sur les adresses
électroniques</a></h2>
<h3>Comment lire une adresse électronique</h3>
<p> Une adresse électronique est toujours de la forme
<code>utilisateur@machine</code>. Par exemple : </p>
<pre>
Raymond.Aron@gmail.com
Jean-Paul.Sartre@ens.fr
Pierre.Caron-de-Beaumarchais@hotmail.fr
kikoo-lol324@hotmail.com
</pre>
<p> <a name="prononciation"></a> Le caractère <code>@</code> s'appelle
un <em>arobase</em> (ou « a » commercial) et se lit
« at ». Donc, l'adresse <code>president@whitehouse.gov</code> se lit
« <em>president at whitehouse point gov</em> » ; on
prononce « point » comme en français. </p>
<p> L'arobase sépare la partie désignant un <em>humain</em> (à gauche de
l'arobase) de la partie désignant un <em>ordinateur</em> (à droite de
l'arobase) :<br/> <img src="structure-email.png" alt="Structure d'une
adresse électronique"/> </p>
<p> Dans nos exemples, les <strong>noms d'utilisateurs</strong> sont
donc « Raymond.Aron », « Jean-Paul.Sartre »,
« Pierre.Caron-de-Beaumarchais » et
« kikoo-lol324 ». La partie droite de l'adresse, après
l'arobase, désigne le <strong>serveur de messagerie</strong>,
c'est-à-dire la machine sur laquelle on est inscrit. Dans nos exemples,
ce sont « ens.fr », « gmail.com »,
« hotmail.fr » et « hotmail.com ». </p>
<div class="attention"> <p>
&icone.attention; <strong>Attention :</strong> Comme on peut le
voir, <strong>les noms d'utilisateurs ne sont pas nécessairement des
noms d'état-civil</strong> : ce peuvent être de simples
pseudonymes. Par conséquent, rien n'empêcherait un pirate de prendre
pour nom d'utilisateur votre propre nom, et de se faire ainsi passer
pour vous. Et inversement : si vous recevez un message signé
Jacques Chirac, il se peut tout à fait que ce ne soit pas l'homme
politique qui vous écrive, mais quelqu'un qui se fait passer pour
lui. </p> </div>
<h3><a name="adresse">Votre adresse</a> </h3>
<p>
À l'ENS, vous recevez un <strong>identifiant</strong>, qui est
généralement composé à partir de votre nom de famille. Par exemple, pour
Jean-Paul Sartre, ce sera <code>sartre</code>. Cet identifiant sert
également de nom d'utilisateur pour le courrier électronique ;
Jean-Paul Sartre pourra donc recevoir des messages envoyés à
l'adresse</p>
<pre>sartre@ens.fr</pre>
<p>
Mais il existe également des <strong>alias</strong>, c'est-à-dire des
redirections automatiques de courriel, qui utilisent vos prénom et nom,
sous la forme
<em>Prenom.Nom@ens.fr</em> (avec ou sans majuscule, peu importe). Ce qui
nous donnera par exemple :
</p>
<pre>
Jean-Paul.Sartre@ens.fr
</pre>
<div class="attention"> <p>
&icone.attention; <strong>Attention :</strong> La
forme <code>sartre@ens.fr</code> est potentiellement ambiguë si vous
avez un homonyme dans l'ENS (par exemple s'il existe un Pierre
Sartre). <strong>Il est donc préférable d'utiliser la forme
développée <code>Prenom.Nom@ens.fr</code></strong>. C'est cette dernière
adresse qu'il vaut mieux communiquer à vos correspondants, car elle est
indépendante de votre nom de login et de tout nom de machine. Ainsi, si
dans quelques années vous devenez chercheur à l'ENS et perdez votre
compte sur clipper pour en retrouver un autre, sur un autre réseau, avec
un autre nom de login, votre adresse restera valide ; et vous êtes
également à l'abri de changements dans les noms des machines. </p>
</div>
<p> Remarques typographiques :</p>
<ul>
<li> Notez que les espaces sont remplacés par un point pour séparer le
nom de famille du prénom (entre « Jean-Paul » et
« Sartre ») et par un signe « moins » dans les
autres cas (entre « Jean » et « Paul ») ; </li>
<li> Ne mettez surtout pas d'accents ni de cédilles (voyez plus
loin <a href="#accents">pourquoi éviter les accents</a>). </li>
</ul>
<p> Un expéditeur normalien, envoyant son courrier en interne à l'École,
pourra se contenter d'écrire : </p>
<pre>
Jean-Paul.Sartre
sartre
sartre@clipper
</pre>
<h3><a name="entetes">Les entêtes du courrier électronique</a> </h3>
<p> Les entêtes sont une série de lignes qui contiennent tous les
renseignements nécessaires au bon acheminement du courrier : auteur,
date, machine qui envoie, etc. Certains de ces renseignements sont
donnés par l'auteur du courrier, comme le destinataire ou le sujet. Pour
chaque courrier envoyé, il y a ainsi plusieurs
<em>champs</em> à remplir. Les plus courants sont : </p>
<table border="1">
<tr>
<td> <code>To</code></td>
<td> le <strong>destinataire</strong>. Vous pouvez en mettre plusieurs,
séparés par des virgules. </td>
</tr>
<tr>
<td> <code>Subject</code></td>
<td> le <strong>sujet du courrier</strong>. Il faut obligatoirement en
mettre un, ne serait-ce que pour donner à votre correspondant une idée
de ce que vous allez lui dire. </td>
</tr>
<tr>
<td> <code>Cc</code></td>
<td> la <strong>copie carbone</strong>. C'est là que l'on met les
adresses des personnes auxquelles on veut envoyer une <strong>copie
conforme</strong> de votre courrier mais qui n'en sont pas destinataires
principaux. On peut également indiquer plusieurs personnes, en séparant
les noms par des virgules. </td>
</tr>
<tr>
<td> <code>Attachments</code></td>
<td> Ce sont les <strong>pièces jointes</strong>, fichiers que vous
joignez éventuellement à votre courrier (image, rapport, etc.), et qui
seront envoyés sous forme codée avec le courrier électronique. </td>
</tr>
</table>
<p>
Il y en a d'autres, plus techniques, qui servent en d'autres
circonstances :
</p>
<table border="1">
<tr> <td> <code>Bcc </code></td>
<td> <em>blind carbon copy</em> : <strong>copie conforme
aveugle</strong>. C'est ce champ que l'on remplit si l'on veut envoyer
des copies du courrier à plusieurs personnes sans qu'elles sachent à qui
d'autre des copies ont été envoyées. Ce champ peut être très utile si
vous voulez envoyer un message à des personnes qui ne se connaissent pas
entre elles : ce n'est pas à vous de divulguer les adresses
électroniques de vos contacts à des gens qu'ils ne connaissent
pas. Ainsi, vous pouvez envoyer un message à Bip-Bip et au Coyote sans
que le Coyote apprenne l'adresse de Bip-Bip. </td>
</tr>
<tr> <td> <code>Reply-To</code></td>
<td> <strong>adresse de réponse</strong>. C'est l'adresse à laquelle
vous voulez que l'on vous réponde, si elle est différente de celle d'où
vous écrivez. Cela ne sert pas dans l'usage courant. </td>
</tr>
<tr> <td> <code>Fcc</code></td>
<td> <strong>dossier de rangement</strong>. Ce champ indique dans quel
dossier (<em>folder</em>) une copie du courrier envoyée est
automatiquement copiée. </td>
</tr>
<tr> <td> <code>PGP</code></td>
<td> <em>Pretty Good Privacy</em> : indique si votre message est
chiffré ou signé cryptographiquement. </td>
</tr>
</table>
<h3><a name="distribution">Comment savoir exactement à quelle machine
une adresse électronique est distribuée ?</a></h3>
<p>
La partie située à droite de l'arobase représente soit un <em>nom de
machine</em>, comme <code>clipper.ens.fr</code>, soit un <em>nom de
domaine</em> comme <code>ens.fr</code>. Il y a un moyen de distinguer
les uns des autres, et de savoir à quelle machine sera envoyé le
courrier en connaissant l'adresse de destination : la
commande <code>host</code>. Supposons que vous vouliez savoir qui
traite le courrier de la machine
<code>jupiter.ecoledoc.ibp.fr</code>. Tapez dans une
<a href="&url.jargon;#xterm">fenêtre terminal</a> :
</p>
<pre>
host jupiter.ecoledoc.ibp.fr
</pre>
<p>
La réponse pourrait être :
</p>
<pre>
jupiter.ecoledoc.ibp.fr has address 132.227.65.9
jupiter.ecoledoc.ibp.fr mail is handled (pri=20) by pascal.ibp.fr
jupiter.ecoledoc.ibp.fr mail is handled (pri=30) by shiva.jussieu.fr
jupiter.ecoledoc.ibp.fr mail is handled (pri=40) by soleil.uvsq.fr
jupiter.ecoledoc.ibp.fr mail is handled (pri=10) by ibp.ibp.fr
</pre>
<p>
Ceci indique d'abord l'adresse numérique (ou IP) de la station
<code>jupiter.ecoledoc.ibp.fr</code> de Jussieu, puis les machines traitant le
courrier électronique qui lui est adressé (la priorité indique l'ordre de
préférence : <code>soleil.uvsq.fr</code> sera donc utilisé en dernier
recours, si toutes les autres sont inaccessibles).
</p>
<p>
Lorsque cette commande ne renvoie pas d'adresse sur la première ligne du
compte-rendu, c'est que le paramètre fourni était un nom de domaine (essayez
avec <code>host ecoledoc.ibp.fr</code>); la présentation des hôtes traitant le
courrier de ce domaine est identique.
</p>
<h2><a name="listes">Les listes de diffusion</a></h2>
<p>
Les <strong>listes de diffusion</strong> (en anglais, <em>mailing lists</em>)
sont des automates de distribution de courrier électronique qui permettent de
discuter sur des sujets variés. On envoie un courrier électronique spécial,
contenant un ordre bref et codifié, à l'automate pour qu'il nous inscrive, on
reçoit alors tous les courriers envoyés à la liste et on peut soi-même en
envoyer.
</p>
<p>
Il n'existe pas d'index des listes de diffusion, et on obtient leurs adresses
et leur mode d'emploi en lisant des documentations sur le Web ou bien par
bouche-à-oreille. C'est ce caractère de « bonnes adresses » qui filtre les
inscriptions et garantit aux listes de diffusion un contenu informatif de
grande qualité. Quelques règles pour respecter cette qualité :
</p>
<ul>
<li> Au cours de la procédure d'inscription automatique, un vademecum de la
liste vous sera envoyé. Sauvegardez-le et lisez-le : cela vous permettra
de vous désabonner plus tard, et vous évitera de commettre l'habituelle bévue
d'envoyer un message de contrôle de l'automate aux auditeurs de la liste, ou
pire, à l'administrateur ! Par ailleurs, cela vous mettra au courant des
us et coutumes de la liste.
</li>
<li> Respectez l'antinomique des règles exposées
<a href="#netiquette">ci-dessous</a> avec une ferveur accrue.
</li>
<li>Pour éviter de poser une question superflue, utilisez les
<a href="&url.jargon;#FAQ">FAQs</a> et les archivages
automatiques (choses dont il vous sera fait mention dans le mode d'emploi de
la liste) pour voir si par hasard, la réponse à votre question n'est pas déjà
donnée.
</li>
</ul>
<h2><a name="lire">Avec quoi lire son mail ?</a></h2>
<p>
Dans le temps, rares étaient les élèves qui avaient un ordinateur connecté au réseau dans leur thurne. On allait en salle
informatique pour lire son mail avec
<a href="mail-pine.html">pine</a> ou <a href="mail-mutt.html">mutt</a>, des programmes sobres mais efficaces.
</p>
<p>
Puis, à l'occasion des vacances ou d'un stage loin de l'<em>alma mater</em>, on apprenait à se connecter par <a
href="&url.tuteurs;internet/loin/ssh.html"><code>ssh</code></a> (voir aussi <a
href="http://www.eleves.ens.fr/wintuteurs/tutorials/putty/">le tutoriel des Wintuteurs sur PuTTY</a>), ce qui permettait de continuer à utiliser <code>pine</code> ou <code>mutt</code> confortablement depuis Oxford, Nice ou Tokyo.
</p>
<p>
Aujourd'hui c'est plus pareil ; ça change, ça change. De plus en plus nombreux sont ceux qui préfèrent l'aspect familier du <a
href="https://www.mail.ens.fr/clipper/src/login.php">Webmail</a>, ou, pour les plus dégourdis, un lecteur de courriel sur leur ordinateur personnel.
</p>
<p>
Cette deuxième catégorie sera peut-être intéressée par
le <a
href="http://www.eleves.ens.fr/wintuteurs/tutorials/imap/index.html">tutoriel</a> des <a
href="http://www.eleves.ens.fr/wintuteurs/">WinTuteurs</a>. Vous pouvez aussi poser des questions sur <a
href="&url.tuteurs;internet/forum/">Forum</a> (dans le conti <code>informatique.mail</code>).
</p>
<p>Insistons sur le fait que le Webmail ne devrait idéalement être utilisé que
comme solution de secours. Ce n'est pas un outil performant (vous vous en
rendrez forcément compte si un jour vous devez faire un gros ménage dans vos
mails pas triés depuis deux ans (situation qu'il vaut mieux éviter de toutes
façons)). Nous vous conseillons donc d'apprendre à vous servir d'un vrai
lecteur de courriel pour votre usage quotidien. </p>
<h2><a name="usage">Du bon usage du courrier électronique</a></h2>
<h3><a name="accents">Quand peut-on utiliser des accents ?</a></h3>
<p>
Tout d'abord, il ne faut pas utiliser d'accents ni dans l'adresse, ni le
sujet, ni généralement dans l'en-tête du courrier électronique. Ceci
parce que le protocole d'acheminement du courrier électronique y
interdit l'usage d'un jeu de caractères autre que celui de l'anglais, et
que la présence d'un accent provoquera des résultats bizarres sur
certaines machines chargées de transmettre votre courrier : les
« é » deviendront des « i » par exemple, ou bien le
sujet sera coupé à cet endroit, ou bien même votre message vous sera
renvoyé (cas rarissime).
</p>
<p>
Pour ce qui est de l'emploi d'accents dans le corps d'un courrier
électronique, il faut simplement respecter les précautions suivantes :
</p>
<ul>
<li> Mettez-vous d'accord avec votre correspondant pour savoir si il accepte
les accents : son logiciel peut être trop vieux pour les afficher, ou
bien son système peut utiliser un codage non-standard des accents, et par
conséquent ceux-ci seront transformés à la réception en des effets visuels
imprévisibles, mais toujours nuisibles à la lisibilité du texte.
</li>
<li> Sachez que certains logiciels de transport du courrier ne
supportent même pas l'envoi d'accents dans le corps du message. On a
alors recours à un encodage des accents dans le jeu de caractères
américain (« é » devient
« =E9 »). <a
href="&url.tuteurs;/internet/courrier/mail-pine.html">Le
logiciel <code>pine</code></a> réalise la conversion automatiquement au
moment de la lecture du texte, mais pas au moment de la sauvegarde, ce
qui fait que vous risquez un jour de vous retrouver nez à nez avec ce
genre de chose (<em>a fortiori</em> si vous décidez de changer de
logiciel de courrier électronique).
</li>
</ul>
<h3><a name="netiquette">Comment se faire des ennemis par courrier électronique ?</a></h3>
<p>
C'est très simple. Utilisez l'une des méthodes suivantes :
</p>
<ul>
<li> Répondre sous le coup de la colère à un message perçu comme offensant.
</li>
<li> Inclure tout le texte du message auquel on répond, sans jamais enlever
les lignes superflues.
</li>
<li> Répondre « merci beaucoup ! », ou autre message à contenu sémantique
fort, à une <a href="#listes">liste de diffusion</a>, où la qualité de
l'information est précieuse.
</li>
<li> Utiliser les méthodes traditionnelles pour se faire des ennemis (insultes
<em>ad hominem</em>, menaces etc.), c'est même plus facile que face à
face car l'escalade à la violence physique n'est pas possible.
</li>
<li> Envoyer le même message automatiquement des centaines de fois. C'est
rarement par hasard, mais il existe par exemple des programmes de traitement
du courrier ayant la même fonction qu'un répondeur téléphonique, utilisables
lorsqu'on part en vacances. Quelques secondes de réflexion vous convaincront
que ce genre de logiciel est incompatible avec un abonnement à une liste de
diffusion.
</li>
<li> <strong>ET SURTOUT</strong> : envoyer ou propager des messages à
caractère commercial, démarcheur, prosélytiste, chaînes de l'amitié, et
autres « make money fast » ! Vous recevrez parfois des
courriers catastrophistes sur un virus transmis par courrier
électronique; lisez notre page pratique sur
les <a href="&url.tuteurs;internet/virus.html">virus</a> pour savoir
pouquoi il faut s'en méfier.
</li>
</ul>
<h3><a name="ens">Comment se faire des ennemis à l'ENS à l'aide du
courrier électronique ?</a></h3>
<p>
Ce n'est pas très difficile, en fait ; il suffit de ne pas faire
attention à ce que l'on fait :
</p>
<ul>
<li> En vous abonnant à de nombreuses <a href="#listes">liste de
diffusion</a>, de préférence à volume journalier élevé, et en partant en
vacances (ou en laissant en permanence les courriers de ces listes dans votre
boîte aux lettres).
</li>
<li> D'une façon analogue, en laissant tous les courriers reçus traîner dans
votre mail-box principale (« Inbox »), y compris les publicités, les mails
renvoyés pour adresse incorrecte, mais aussi les courriers avec de gros
attachements.
<br/> Pourquoi est-ce mal de faire cela ? L'<a
href="&url.tuteurs;unix/place_disque.html">espace disque de clipper
réservé aux boîtes aux lettres des élèves</a> est commun à tous les
utilisateurs, ce qui signifie qu'il vous est possible, par ces
méthodes, de rendre impossible la réception de courrier électronique
pour <strong>tous les élèves !</strong>.
<br/>
Par pitié, si vous devenez un adepte fervent du courrier électronique, pensez
à faire le ménage : si chacun se limite à une réserve de 150 messages (ce
qui fait beaucoup), le disque ne se sature pas, ce qui vous laisse tout de
même de la marge !
</li>
<li> <strong>En envoyant des courriers collectifs</strong> : toujours
porteurs d'un message fort (« Je loue mon appartement »,
« je vends mon frigo », « j'ai perdu mon pull »,
etc), ils sont copiés en autant d'exemplaires qu'il y a de boîtes aux
lettres, soit plus de 1200; et prennent donc une place absolument
gigantesque pour rien. Vous pouvez vous reporter à la documentation sur
les <a href="collectif.html">courrier collectifs</a>. <br/>
Les messages à caractère collectif ont pour destination naturelle le
média d'information collective de l'ENS : <a
href="../forum/">forum</a>, où votre courrier électronique sera
redirigé de toute façon par les modérateurs.
<br/>
Vous pouvez aussi (c'est complémentaire) mettre une annonce dans le BOcal
(envoyez votre texte par courriel après avoir lu cette
<a href="http://www.cof.ens.fr/bocal/envoyer.html">page</a>).
</li>
</ul>
<h2>Remarque historique</h2>
<p> Le courrier électronique, ou courriel (en
anglais, <em>e-mail</em> : <em>electronic mail</em>) est le service
Internet le plus ancien. Il a même été, à une époque, le service
Internet le plus utilisé : en 1992, il représentait presque 50% du
trafic mondial en volume. Mais ce score est aujourd'hui écrasé par le
World Wide Web : les utilisateurs actuels d'Internet consultent
plus de sites web qu'ils n'envoient de messages électroniques.</p>
<h2>FAQ sur le courrier électronique</h2>
<p>Si cette page n'a pas répondu à vos questions, vous pouvez consulter
la <a href="&url.tuteurs;faq/mail.html">FAQ des tuteurs sur le
courrier électronique</a>.</p>
<div class="metainformation">
Auteurs : Dominique Quatravaux, Émilia Robin, Baptiste Mélès.
<date value="from git" />
</div>
</body>
</html>