Parlons d'emacs...
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54a54e5ea1
1 changed files with 127 additions and 18 deletions
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@ -14,7 +14,7 @@
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Nous allons voir ici comment taper de l'Unicode, ce qui recouvre plus ou
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moins toutes les langues et tous les alphabets bizarres de la planète, et
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êut-être même d'au delà (l'intégration du Tengwar est en discussion).
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peut-être même d'au delà (l'intégration du Tengwar est en discussion).
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</div>
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@ -39,6 +39,11 @@ et configurer un
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caractères qui ne sont pas disponibles sur le clavier.
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Note : partout dans ce texte, quand il sera question d'un fichier en
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Unicode, ça sous-entendra un fichier codé en UTF-8.
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<h3>Choisir un éditeur</h3>
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@ -76,6 +81,21 @@ attendant il est possible de le lancer en affichage distant.
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<div class="attention">
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<h1>&icone.attention; Attention &icone.attention;</h1>
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Un terminal Unicode est un terminal très particulier. Si vous lancez dedans
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une application qui ne connaît pas Unicode, il est très probable qu'elle
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fasse à peu près n'importe quoi (et le pire c'est que ça peut passer
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inaperçu pendant un temps). Donc n'utilisez de terminal Unicode que pour des
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applications prévues pour.
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Ceci concerne en particulier Pine, ainsi que Flrn (Forum ; même si celui-ci
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a un semblant d'options pour gérer Unicode).
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</div>
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Si on n'a pas à sa disposition le script uxterm, mais qu'on est sous Unix,
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on peut quand même lancer xterm avec les bonnes options :
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@ -108,8 +128,19 @@ que ce soit un code qui existe.
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Il est possible également d'obtenir un terminal en Unicode quand on est
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connecté depuis windows ou macos. Mais je ne sais pas comment on fait.
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Sous windows, avec
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<a href="http://www.chiark.greenend.org.uk/~sgtatham/putty/">PuTTY</a>,
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il est possible d'avoir un terminal Unicode : dans les options de la
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connexion, dans la rubrique « Window », sous-rubrique « Translation »,
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indiquez <code>UTF-8</code> à « Character set translation on received
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data ».
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Sous macos, avec Terminal.app, il est également possible d'avoir un terminal
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Unicode : dans le menu « Terminal, Réglages de la fenêtre », sous-menu
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« Affichage », sous-sous-menu « Codage du jeu de caractères »,
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choisissez « Unicode (UTF-8) ».
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</p>
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<h3>Un éditeur au courant</h3>
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@ -136,7 +167,50 @@ avec l'option <code>fileencoding</code>.
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<strong>Avec Emacs</strong>, je n'ai aucune idée de comment on procède.
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<strong>Avec Emacs</strong>, cela dépend de la version. Nous ne parlerons
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que de la <em>version 21.3</em> (qui sera très prochainement™
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installée à l'ENS ; ce sera probablement vrai aussi pour les versions
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ultérieures).
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Si l'on utilise Emacs en mode graphique, il n'arrive pas forcément à trouver
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tout seul les bonnes polices (on peut taper correctement, mais tous les
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caractères exotiques sont affichés comme des carrés). Une solution est de
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mettre la ligne suivante dans votre fichier <code>.Xresource</code> qui se
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trouve dans votre répertoire personnel :
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Emacs.font: 9x15
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</pre>
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Pour qu'Emacs veuille travailler en Unicode, le mieux est de le lancer en
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ayant positionné <code>LC_CTYPE</code>. Si ce n'est pas fait, on peut le lui
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dire a posteriori avec <kbd>M-x prefer-coding-system</kbd>, puis
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<kbd>mule-utf-8</kbd> ; cependant, certaines facilités (comme compose-o-e
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pour œ ne seront ainsi pas disponibles.
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Si on lance Emacs dans un terminal il faut faire une manipulation
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supplémentaire : <kbd>M-x set-keyboard-coding-system</kbd> puis
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<kbd>mule-utf-8</kbd>.
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Quand vous ouvrez un fichier qui n'est pas en Unicode, Emacs va peut-être le
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détecter correctement. Pour le savoir, regardez en bas à gauche : un
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<code>u</code> indique un fichier en Unicode, un <code>1</code> indique un
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fichier en latin-1. À la sauvegarde, Emacs tentera de garder le même codage,
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et à défaut passera en Unicode).
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Dans le cas de Vim comme d'Emacs, il est possible d'aider la détection
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automatique et le choix du codage d'un fichier. Nous ne nous y attarderons
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pas dans cette page : travaillez tout le temps en Unicode quand le latin-1
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ne suffit pas et tout se passera bien.
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@ -161,12 +235,12 @@ occidental, il est possible de changer de mode.
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<ul>
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<li>Avec <code>Compose-a-a</code>, on passe en <strong>arabe</strong>.</li>
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<li>Avec <code>Compose-c-c</code>, on passe en <strong>cyrillique</strong>.</li>
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<li>Avec <code>Compose-g-g</code>, on passe en <strong>grec</strong>.</li>
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<li>Avec <code>Compose-h-h</code>, on passe en <strong>hébreu</strong>.</li>
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<li>Avec <code>Compose-t-t</code>, on passe en <strong>thai</strong>.</li>
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<li>Avec <code>Control-espace</code>, on revient en occidental.</li>
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<li>Avec <kbd>Compose-a-r</kbd>, on passe en <strong>arabe</strong>.</li>
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<li>Avec <kbd>Compose-c-c</kbd>, on passe en <strong>cyrillique</strong>.</li>
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<li>Avec <kbd>Compose-g-g</kbd>, on passe en <strong>grec</strong>.</li>
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<li>Avec <kbd>Compose-h-h</kbd>, on passe en <strong>hébreu</strong>.</li>
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<li>Avec <kbd>Compose-t-t</kbd>, on passe en <strong>thai</strong>.</li>
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<li>Avec <kbd>Control-espace</kbd>, on revient en occidental.</li>
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</ul>
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@ -177,15 +251,49 @@ mode, mais
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PC.
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Le fonctionnement exact ce ces méthodes d'entrées est décrit dans le fichier
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<code>/usr/local/util/packages/xterm/lib/X11/locale/en_US.UTF-8/Compose</code>.
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Ce n'est pas très lisible, on en fera peut-être un jour un tableau
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récapitulatif. De toutes façons, il ne s'agit que d'une touche compose un
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peu enrichie (mode occidental), ou d'un simple changement des touches qu'on
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détermine en quelques essais.
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</p>
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<h3>Les méthodes d'entrée d'Emacs</h3>
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Emacs possède lui-même un nombre assez important de méthodes d'entrée.
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Celles-ci sont plus confortables et plus puissantes que celles d'uxterm ;
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en particulier elles affichent en bas d'Emacs le caractère en cours de
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construction et/ou les différents choix possibles. Le défaut est que ces
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méthodes ne sont disponibles que dans Emacs lui-même, donc ni dans un autre
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éditeur, ni dans d'autres logiciels.
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En plus des méthodes d'entrée fournies par le terminal (s'il est lancé en
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mode texte) ou des mêmes méthodes d'entrée qu'uxterm (s'il est lancé en mode
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graphique), Emacs propose son propre jeu de méthodes d'entrée. Elles
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présentent deux avantages : elles sont locales à un buffer, il n'est donc
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pas nécessaire de se soucier de les désactiver avant d'éditer un autre
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fichier ou de taper une commande ; et elles affichent dans le minibuffer
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des informations intéressantes, comme les différents caractères possibles
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pour finir une frappe.
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</p>
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On obtient la liste des méthodes disponibles avec <kbd>M-x
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list-input-methods</kbd>, et on peut obtenir une description détaillée
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d'une méthode particulière avec <kbd>M-x describe-input-method</kbd>. Il
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faut faire attention à un point subtil : Emacs ne sait pas bien convertir
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entre les différents codages, or beaucoup de ces méthodes d'entrée ne sont
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pas prévues pour Unicode, il ne faut donc pas les utiliser. Il vaut mieux se
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restreindre aux méthodes explicitement indiquées pour Unicode, ou dont le
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nom contient « latin » (Emacs à partir de la version 21.3 sait convertir
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entre unicode et les divers codages « latin »).
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Une fois la méthode choisie, il faut la sélectionner, ce qui se fait avec
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<kbd>M-x set-input-method</kbd> (qui se dit aussi <kbd>C-x RET c C-\</kbd>
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(<kbd>RET</kbd> signifie « entrée »), Emacs demande alors d'entrer le nom
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de la méthode dans le minibuffer (avec bien sur la complétion). Cela
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sélectionne et active la méthode pour le buffer courant. On peut la
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désactiver puis la réactiver avec <kbd>C-\</kbd> ou <kbd>M-x
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toggle-input-method</kbd>. Il est à noter que ces fonctions n'activent la
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méthode que dans le buffer courant.
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</p>
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<h3>Termim</h3>
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@ -226,13 +334,14 @@ de changer)
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Pour plus de détails, consulter la page de man de termim, ainsi que les
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documentations dans <code>/usr/local/util/packages/termim/doc/</code>.
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documentations des diverses méthodes d'entrée dans
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<code>/usr/local/util/packages/termim/doc/</code>.
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</p>
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<div class="metainformation">
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||||
Auteur : Nicolas George.
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Dernière modification le <date value="$Date: 2003-06-12 14:58:36 $"/>.
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Dernière modification le <date value="$Date: 2003-06-16 13:35:21 $"/>.
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</div>
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</body>
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