À consulter également :
Il y a une imprimante dans chaque salle info : quand vous lancez une impression depuis un logiciel en mode graphique, vérifiez bien que vous imprimez dans la salle où vous vous trouvez !
En mode graphique, les logiciels Gnome
vous proposent une boîte de dialogue avec une liste déroulante
permettant de choisir l'imprimante. L'imprimante d'une salle comporte
l'indication de la salle dans son nom, par exemple,
lwinfo3
est l'imprimante de la salle S. En fait, les
imprimantes qui savent imprimer en recto-verso apparaissent une
seconde fois, avec le suffixe -2
. Choisir cette deuxième
variante active le mode recto-verso : par exemple, imprimer sur
lwinfo3-2
permet d'imprimer en recto-verso sur
l'imprimante de la salle S. Tout ça (la localisation de l'imprimante
et le mode recto-verso éventuel) est rappelé dans la description qui
apparaît en-dessous quand vous cliquez sur le nom de l'imprimante.
Si vous avec des difficultés pour imprimer (ce qui arrive assez souvent, les imprimantes sont des machines capricieuses), n'hésitez pas à demander un coup de main aux tuteurs.
Les imprimantes sont partagées entre les élèves, ce qui impose
quelques règles de savoir-vivre : vérifier ce que fait l'imprimante
avant d'envoyer une nouvelle impression, supprimer une impression si
on doit partir, si l'imprimante est bloquée, s'il n'y a plus de
papier, etc. Deux commandes vous aideront à ce faire, lpq
et lprm
.
lpq
lpq
(comme line printer queue) indique
la liste des documents à imprimer en attente dans la queue de
l'imprimante, la personne qui les a envoyés, leur taille, leur numéro
(dans la colonne Job), leur taille et l'heure à laquelle ils
ont été envoyés. Par exemple :
clipper ~ $ lpq
Printer: lp is lwsalles@snekkar
Printer: lwsalles@snekkar 'HP 4200 Salle S'
Queue: 1 printable job
Server: pid 14662 active
Unspooler: pid 14663 active
Status: printing 'toto@drakkar', file 1 '(stdin)', size 215136, format 'f' at 10:34:57
Rank Owner/ID Class Job Files Size Time
active toto @drakkar A 760 (stdin) 215136 10:34:57
Vous savez donc qu'un utilisateur dont le login est « toto », logué
sur la machine drakkar
, est en train d'imprimer un
document qui fait 215136 octets (210 Ko). Le numéro attribué à cette
impression est 760.
Si personne n'a lancé d'impression, lpq
vous répondra
seulement ceci :
clipper ~ $ lpq
Printer: lp is lwsalles@snekkar
Printer: lwsalles@snekkar 'HP 4200 Salle S'
Queue: no printable jobs in queue
Status: server finished at 10:42:16
lprm
lprm
(comme line printer remove) : sans
arguments, cette commande supprime tous les documents en attente dans
la queue (à condition que l'impression n'ait pas encore
commencé). Avant de tout supprimer, demandez leur avis aux personnes
qui ont lancé des impressions (voir la partie sur lpq
)...
lprm numéro
supprime l'impression de numéro
tant (utile quand on renonce finalement à imprimer son
fichier).
lprm
ne supprime que
les documents dans la queue. Si le processus d'impression a déjà
commencé, on ne peut l'annuler qu'en appuyant sur le bouton « reset »
de l'imprimante.
Le PostScript est un format utilisé initialement pour décrire une page à une imprimante. Il est conçu comme un langage de programmation totalement opérationnel, et permet donc de faire des choses vraiment très souples. Un document PostScript décrit exactement l'aspect graphique d'une page.
C'est le format d'impression standard des Macintosh et des machines Unix, ainsi que celui qu'utilisent la plupart des imprimantes laser haut de gamme. Comme l'aspect graphique d'un document PostScript est parfaitement spécifié et que PostScript est un format standard, il est fréquemment utilisé pour diffuser des documents dont la mise en page doit être exactement préservée. Toutefois, il est actuellement supplanté dans cet usage par le format PDF qui en est dérivé.
Les logiciels incluent le plus souvent le format PostScript dans leurs formats possibles de sauvegarde. Par exemple, avec Mozilla, quand vous téléchargez un document, vous avez le choix entre le texte brut, le fichier HTML complet ou un fichier PostScript.
Un fichier DVI est un fichier résultant de la compilation d'un fichier
LaTeX. Pour le transformer
en fichier PostScript, on utilise la commande dvips
.
clipper ~ $ dvips dissert.dvi -o
This is dvips(k) 5.90a Copyright 2002 Radical Eye Software (www.radicaleye.com)
' TeX output 2000.03.01:0202' -> dissert.ps
<texc.pro><texps.pro>. <cmbx10.pfb><cmr8.pfb><cmr6.pfb><cmr7.pfb><cmr10.pfb>
<cmr12.pfb><cmbx12.pfb>[1] [2] [3] [4] [5] [6] [7]
Après un petit charabia technique, dvips
vous indique
donc qu'il a transformé votre document en fichier PostScript qui fait
7 pages. L'argument -o
(o comme output,
résultat) placé à la fin signifie qu'on veut garder le même nom de
fichier. Ainsi, dvips dissert.dvi -o
produit
automatiquement le fichier dissert.ps
Si vous voulez
spécifier un autre nom, la syntaxe est légèrement différente :
clipper ~ $ dvips -o dissertation.ps dissert.dvi
This is dvips(k) 5.90a Copyright 2002 Radical Eye Software (www.radicaleye.com)
' TeX output 1999.12.03:1601' -> dissertation.ps
<texc.pro><cm-super-t1.enc><texps.pro>. <sfcc1095.pfb><cmsy8.pfb>
<sfrm0900.pfb><sfrm0600.pfb><sfti1095.pfb><sfrm0800.pfb><sfbx1200.pfb>
<sfbx1440.pfb><sfrm1095.pfb><sfbx1095.pfb>[1] [2] [3] [4] [5] [6] [7]
Quand vous faites du LaTeX, il est plus fiable de visualiser le
résultat final en regardant le PostScript, plutôt que le
DVI. L'afficheur gv
(pour GhostView), qui affiche les
fichiers PostScript, est plus fiable que XDvi pour les
dessins ou les mises en page bizarres. Par contre, ils sont beaucoup
plus gros que les documents .dvi
; il faut donc soit les
compresser (voir gzip
)
soit les effacer quand on n'en a pas besoin.
Utilisez le logiciel gv
(pour GhostView). Entre autres choses, il vous permet de
marquer les pages, pour n'imprimer que les pages
sélectionnées. GhostView est également disponible pour Windows (sous
le nom de GSView) et Mac OS (sous le nom de MacGSView).
On utilise simplement la commande lpr
.
lpr
lpr
imprime un fichier PostScript. Pour imprimer en
recto-verso, on utilise l'option -Zdouble
:
lpr -Zdouble hublot4.ps
dvips
La commande dvips
imprime les documents
.dvi
, produits par LaTeX. Il y a plusieurs options à
cette commande, dont celles-ci (pour savoir toutes les options,
regardez le man, ou taper
dvips
tout court, sans argument) :
-p |
indique le numéro de la première page à imprimer. |
-l (last) |
indique le numéro de la dernière page à imprimer. |
-pp num-num (pages) |
Imprimer les pages tant à tant. |
Par exemple :
dvips -p 5 document.dvi |
Imprimer le document à partir de la page 5. |
dvips -l 3 document.dvi |
Imprimer jusqu'à la page 3. |
dvips -pp 8-11 document.dvi |
Imprimer de la page 8 à la page 11. |
dvips -pp 7 document.dvi |
Imprimer la page 7. |
dvips
sert aussi à produire les fichiers PostScript (voir
ci-dessus).
Les commandes à taper pour ouvrir ou imprimer des fichiers de différents types de formats se trouvent sur l'aide-mémoire sur les formats.
Touche %
(pourcent) avec pine
,
touche p
(print) avec mutt
.
Cliquer sur le bouton Print
de Mozilla, ou sélectionner
Print
dans le menu File
, ou taper
Ctrl-P
.
Taper dvips fichier.dvi
.
Taper lpr fichier.ps
.
Convertissez-la en PostScript avec xv
, puis imprimez le
fichier .ps
.