La mauvaise méthode est d'éliminer les PC et les Macs et de regarder ce qui reste. En effet, on trouve quelques PC sous FreeBSD, qui s'apparentent aux machines tournant sous Unix. De plus vous avez le droit de ne pas savoir reconnaître un PC au premier coup d'oeil !
La bonne méthode est de regarder si la machine parle aux inconnus :
si on peut lancer un programme de but en blanc, ce n'est pas une machine
Unix. Si elle vous affiche imperturbablement « login :
»
et refuse les ordres nonobstant une éventuelle et superbe image de fond,
pas de doute c'est une machine Unix !
C'est un nom pompeux pour désigner une machine reliée en réseau activement (c'est-à-dire, dont la puissance de calcul est utilisable depuis ailleurs sur le réseau). On peut travailler dessus à distance (ce qu'on appelle « se loguer à distance »).
En bref et dans le cas qui nous intéresse, c'est tout ordinateur qui
n'est ni PC sous Windows ni Mac, et sur lequel il y a un écran et un
clavier (sinon, c'est un serveur, comme clipper
).
Ni l'un ni l'autre. Si vous êtes habitué à l'une ou l'autre de ces machines, vous allez être surpris par le fait que la machine vous parle en anglais, qu'en général elle se comporte avec vous à la limite de la politesse ! Toutefois, de gros efforts sont fait pour qu'un maximum de choses puissent se faire avec la souris, et avec des jolies couleurs !
C'est certes peu rassurant, mais cette rudesse est le signe d'une puissance bien plus grande qu'une machine bureautique. Un avantage toutefois : sous Unix, personne ne vous prend pour un(e) idiot(e), car tout le monde a commencé par ne rien savoir...