diff --git a/00TODO b/00TODO index ada03ce..146b5bd 100644 --- a/00TODO +++ b/00TODO @@ -86,7 +86,6 @@ cours/index.html cours/rcs.html cours/unix/cercles.html cours/unix/imprimer.html -cours/unix/jeux.html exos/contact.html exos/contact_sol.html exos/cp_mv.html diff --git a/unix/jeux.tml b/unix/jeux.tml new file mode 100644 index 0000000..1e1e139 --- /dev/null +++ b/unix/jeux.tml @@ -0,0 +1,469 @@ + + + +
++&icone.attention; +Les administrateurs système du SPI sont intelligents et ne font pas la +chasse aux jeux (ils permettent même officiellement aux gourous d'en +installer, et fournissent de la place disque à cette fin !). Cependant, +il est bien évident que les machines sont d'abord destinées à +travailler : si vous êtes dans la douloureuse obligation de le +faire, vous avez toute latitude de demander à une personne qui est en train de +jouer de vous laisser sa place. Et inversement. Bref, vous avez +compris... +
++Dans les salles élèves, les jeux sont en réseau, ou tout au moins possèdent une +table des scores partagée entre tous les joueurs depuis l'installation du +jeu. +
+ ++Lancer les jeux : un certain nombre de jeux sont disponibles dans le +sous-menu « Jeux » du menu de fond d'écran. Vous pouvez aussi les lancer en +tapant leur nom au clavier. +
+ ++Sur les machines FreeBSD, certains jeux ne sont pas installés, donc vous ne +pourrez pas les lancer. +
+ + ++Certains jeux utilisent la puissance du système X Window pour s'exécuter +sur une machine... et afficher le résultat sur une autre. Ceci nécessite +toutefois que le propriétaire de l'écran soit d'accord avec la manoeuvre, +sinon n'importe qui pourrait afficher des images politiquement incorrectes +dans une fenêtre par-dessus votre rapport de stage à tout moment (!). +
+ +
+Pour donner l'autorisation à la machine chaland
de vous envoyer
+une fenêtre afin de jouer à un jeu en réseau qui utilise ce procédé, tapez
+
xhost +chaland+ +
+Si ça ne marche pas, essayez xhost +
tout en sachant que
+cela permet à n'importe quelle machine au monde à vous envoyer des
+fenêtres voire de voler des mots de passe en espionnant votre clavier.
+
+Les commandes permettant de retirer ces permissions sont respectivement
+xhost -chaland
et xhost -
. Retirer la permission
+ne ferme pas les fenêtres déjà ouvertes par votre correspondant, vous pouvez
+donc le faire aussitôt que la fenêtre apparaît pour limiter l'intervalle de
+temps pendant lequel vous êtes vulnérable.
+
+xtris peut se jouer en réseau. Pour rejoindre une partie commencée
+sur jonque
, par exemple, tapez xtris jonque
.
+
+Le but du jeu est d'assembler les puyos par bloc de quatre de la même +couleur (et non plus de former des lignes). Ce jeu est plus amusant en réseau, +car la constitution d'un bloc de puyos a pour conséquence le saupoudrage de la +zone de jeu de votre adversaire avec des cailloux qui gênent son jeu +(banga !). +
+ +
+Pour jouer en réseau, lancez puyo
sur votre machine (on dit que
+c'est bireme
). Vous partenaires lancent à leur tour le jeux, en
+tapant
+
puyo bireme+ +
+Le nouveau joueur s'ajoute donc. Pour jouer ensemble, le nouveau doit cliquer
+sur Play
au moment où le jeu énumère « 3, 2, 1 ».
+
+C'est un tetris en 3D, dont les touches sont un peu difficiles à mémoriser, +mais qui a beaucoup de succès. +
+ + ++Le jeu-ou-il-faut-pousser-les-caisses-dans-les-cases-idoines. +
+ ++Sokoban avec le graphisme KDE. +
+ ++(programmé par Max — Marc Espie, un ancien élève, mais toujours +d'actualité, de l'ENS) En cliquant sur un bloc de deux briques ou plus, on +le fait disparaître, et les briques au dessus descendent d'un niveau. Il +faut nettoyer tout l'écran... +
+ ++X-TileS est configurable : +
+ +X-Tiles 3 35 35+ +
+lance un jeu avec 3 couleurs, et de taille 35 sur 35. +
+ ++Même principe que X-Tiles, avec une jolie interface KDE. Trois couleurs +seulement, non configurable. +
+ ++Un jeu de mah-jongg (dominos chinois) aux couleurs criardes. Le principe est +de retirer les pièces par paires identiques, sachant qu'il y a plusieurs +épaisseurs (donc certaines pièces ne sont pas encore visibles), et qu'on ne +peut retirer que les pièces se trouvant sur les bords. +
+ ++Le jeu de mah-jongg de KDE, avec de belles pièces sur un modèle classique. +
+ ++Un autre jeu de dominos chinois, avec le graphisme KDE. On retire les pièces +par paires identiques, à condition qu'elles puissent être reliées par un trait +qui fasse au plus deux coudes. +
+ ++Un jeu de puzzle très très très bien fait. Attention, les pièces sont +réversibles... +
+ ++Un jeu de reversi où vous jouez contre l'ordinateur. +
+ ++Il s'agit en fait de GNU chess, un jeu d'échecs très fort. +
+ ++Jeu d'échecs japonais. +
+ ++Un jeu de go. +
+ ++Xboard (pour les échecs) et cgoban (pour le go) +permettent de se connecter à des sites distants et de jouer contre d'autres +personnes connectées aux mêmes sites dans le monde entier. Dans les deux cas, +il vous faudra chercher un peu de documentation par vous-même (dans les news ou dans les pages de man) pour vous en +servir. +
+ + +
+C'est un assortiment de divers jeux de cartes (liste complète dans le menu
+rules
; on y trouve Spider, le solitaire sous le nom
+de klondike
, Freecell...).
+
+Le jeu de cartes de KDE. Il est naturellement lancé sur le solitaire, et +propose d'autres jeux. +
+ ++Le jeu de cartes, difficile, passionnnant, élégant... +
+ + ++Un clône du bon vieux deflektor d'Amstrad. +
+ ++À lancer, ne serait-ce que pour voir une fois l'ouverture... +
+ + ++C'est sans aucun doute la catégorie dont le rapport temps de jeu sur qualité +graphique est le plus élevé ! Un coach humain est de rigueur pour +apprendre à jouer à ces jeux, mais ils sont d'une richesse incroyable et comme +ils n'autorisent qu'une seule sauvegarde, gare aux moments de déprime à la +mort de votre personnage ! +
+ ++Le jeu mythique. +
+ ++Version modernisée et encore plus riche et plus difficile de Nethack. +
+ + ++C'est le genre de jeux qui a le plus de succès à plusieurs. Les jeux exposés +ici reposent sur un mécanisme de client-serveur : un joueur +lance un programme maître (le serveur) qui attend les connexions des +autres joueurs et supervise le jeu en distribuant les décors, les positions +des autres joueurs, etc, à tout le monde. Les autres joueurs lancent un +client qui contient l'interface graphique permettant de jouer. Dans +la liste ci-dessous, le nom indiqué est celui du programme client. +
+ +
+FreeCiv est un clone libre du célèbre Civilization II de Sid
+Meier. Il s'agit de prendre les rênes d'un empire depuis l'âge de pierre
+jusqu'à la conquête spatiale, tout en gérant les velléités expansionnistes
+de vos concurrents. Bien qu'on puisse y jouer seul face à des concurrents
+informatiques, il est vivement recommandé d'y jouer à plusieurs pour
+profiter pleinement du jeu. N'oubliez pas l'existence de la mailing-list
+freeciv@quatramaran.ens.fr
dans le cas improbable d'une pénurie
+de joueurs potentiels.
+
+Pour lancer une partie, il faut que l'un des joueurs tape
+civserver
dans une fenêtre. Il est alors « arbitre » de la
+partie : peut créer des joueurs informatiques, régler les paramètres,
+charger ou sauver le jeu, et surtout accepter les connections des autres
+joueurs, qui auront entré la commande civclient
(si l'arbitre
+veut jouer, il lance son propre civclient
dans une autre
+fenêtre). Une fois les détails réglés, l'arbitre peut lancer le jeu.
+
+
+Jeu de petits vaisseaux qui se lattent les uns les autres (tout un programme).
+Le serveur se lance par la commande xpilots
et le client par
+xpilot
(suivi du nom de la machine serveur si elle ne se trouve
+pas dans la même salle). Appuyez sur Return
une fois de plus et
+le jeu démarre. À vos claviers ! Quatre touches de base :
+
Shift
pour accélérera
et s
pour tournerReturn
pour tirer
+La liste des autres touches est accessible par l'option keys
du
+menu (la case menu
) à gauche de l'écran de jeu.
+
+Ce jeu est d'une difficulté bien dosée, tout plein d'options diverses et il +possède une particularité très amusante : les serveurs xpilot se +connectent eux-mêmes à un serveur de serveurs pour se communiquer la liste de +leurs joueurs, ce qui fait qu'on a souvent l'occasion de jouer avec des +joueurs connectés de partout en Europe ! +
+ +
+Il s'agit d'un combat dans un labyrinthe, avec des armes à feu. Par le
+principe, c'est un peu comme le célèbre Doom, mais en apparence,
+ça n'a rien à voir : le labyrinthe est vu du dessus, et découvert
+progressivement. Pour le lancer, on tape la commande hunt
+(depuis une station Sun, il n'est pas installé pour FreeBSD), on indique un
+pseudonyme, éventuellement une équipe. Il va ensuite chercher toutes les
+parties qui existent déjà dans la salle.
+
+Pour jouer, on utilise le clavier. Les touches de déplacement sont les
+mêmes que celles de Nethack, c'est-à-dire celles des plus vieilles versions
+de l'éditeur Vi : respectivement h
, j
,
+k
, l
pour gauche, bas, haut, droite, les
+majuscules permettant en outre de se tourner. On tire en utilisant les
+chiffres. Il existe d'autres possibilités, toutes décrites dans la page de
+man.
+
+Inspiré du jeu des « motos lumineuses » du film homonyme de Walt Disney. +
+ ++De petits personnages posent ou font glisser des bombes pour essayer de +faire exploser les autres, tout en essayant d'éviter les bombes des autres +et d'attraper les bonus. Attention : c'est un jeu relativement gourmand en +réseau, et générateur de bruit, il ne faut pas y jouer quand il y a du +monde. +
+ + +
+Une adaptation du jeu de plateau Risk. On peut y jouer seul contre
+l'ordinateur avec la simple commande risk
, ou à plusieurs en se
+connecant à une partie déjà lancée mais pas encore commencée avec risk
+machine
.
+
+(programmé par David Madore). Il faut taper les lettres de mots avant qu'ils
+n'atteignent le bas de l'écran (en un sens c'est un logiciel pédagogique...).
+xletters
a été décrit par son auteur dans le numéro 2 du
+Hublot : Le
+jeu xletters, novembre 1999.
+
+Jeu très idiot où le but est d'empêcher le petit Billou de remplir votre +réseau avec son système d'exploitation. Pour initiés... +
+ ++Le démineur que vous connaissez. +
+ ++Un démineur, plus joli, avec l'interface KDE. +
+ ++Il faut faire manger toutes les pommes au serpent et sortir avant que le +temps soit écoulé. Se joue avec les flèches du clavier. +
+ + + + + +